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Simón Bolívar

1783-1830
Venezuela – Colombie

Aperçu historique

Simón Bolívar, surnommé « El Libertador », est né en 1783 à Caracas, au Venezuela. Il est le fils d'une riche et influente famille aristocratique créole, établie en Amérique au milieu du 16e siècle. En 1799, il part visiter l’Espagne et la France où il approfondit son intérêt pour la politique. Il est influencé par les philosophes des lumières et par les mouvements révolutionnaires des États-Unis et de la France. Dès lors, il rejette l’administration coloniale de l’Espagne en Amérique latine.

À partir de 1813, Simón Bolívar entreprend un long combat pour l'émancipation des colonies sud-américaines, combat qu’il poursuit sa vie durant. Il se bat pour l'indépendance de la Bolivie, de la Colombie, de l'Équateur, du Panama, du Pérou et du Venezuela.

Sa santé décline et il meurt en Colombie en 1830. Sa pensée lui survit et reste ancrée dans l’idéal révolutionnaire de nombreux pays d’Amérique latine.

D’innombrables hommages lui ont été rendus à travers le monde. La monnaie du Venezuela, le pont qui relie la Colombie au Venezuela et la Bolivie sont notamment nommés en sa mémoire.

Récit et chanson en vidéo

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Histoire de l'Amérique latine et des Caraïbes

par José del Pozo

Récits historiques des Amériques est une exclusivité présentée par le Centre de la francophonie des Amériques.

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Simón Bolívar, surnommé « El Libertador », est né en 1783 à Caracas, au Venezuela.
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Marie-Anne Gaboury

1780 -1875
Winnipeg, Manitoba (Canada)

Aperçu historique

Marie-Anne Gaboury, est née en 1780 à Maskinongé, au Québec. Son époux, Jean-Baptiste Lagimodière, est un Canadien français natif de la vallée du Richelieu. Il est coureur des bois et fait la traite de fourrures dans la Terre de Rupert (région centrale et nordique de l'actuel Canada) pour le compte de la Compagnie du Nord-Ouest.

Plutôt que de rester à la maison en attendant le retour de son époux, comme le font les femmes de l’époque, elle choisit de le suivre dans l’ouest du pays. Elle devient la première femme d'ascendance européenne à avoir exploré ce qui est aujourd'hui l'Ouest canadien et à s'y établir avec sa famille. Elle aura une descendance nombreuse, puisqu’elle élève neuf enfants, dont Julie Lagimodière, mère de Louis Riel.

Morte en 1875 à l'âge de 95 ans, elle voit le Manitoba devenir une province canadienne à part entière. Elle est également témoin privilégiée des résistances métisses de 1869-1870 menées par son petit-fils Louis Riel., On se souvient affectueusement d’elle aujourd’hui en tant que « grandmère de la rivière Rouge » et des francophones de l’Ouest.

Récit et chanson en vidéo

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Marie-Anne Gaboury, est née en 1780 à Maskinongé, au Québec. Son époux, Jean-Baptiste Lagimodière, est un Canadien français natif de la vallée du Richelieu.
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Toussaint Louverture

1743-1803
Haïti

Aperçu historique

En 1743, Toussaint Louverture naît esclave en Haïti. À cette époque la colonie française est l’une des plus riches de l’hémisphère occidental. Elle est connue sous le nom de Saint-Domingue ou de « perle des Antilles ». Louverture est affranchi à l’âge de 33 ans et devient propriétaire d’une plantation. Puis, il se joint au mouvement de libération des esclaves. Il devient alors le chef de la révolution haïtienne (1791-1802), où ses talents militaires sont tour à tour confrontés aux grandes puissances coloniales de l’époque, soit les armées française, espagnole et anglaise.

En 1801, Toussaint Louverture se fait nommer gouverneur à vie et proclame l’indépendance du territoire de Saint-Domingue. Napoléon Bonaparte, qui vient de reprendre le pouvoir en France, annonce alors le rétablissement de l’esclavage, pourtant aboli depuis la proclamation du 29 août 1793. Il est arrêté, expatrié et emprisonné en France, où il meurt en 1803, à l’âge de 60 ans. La révolte des esclaves se poursuit, galvanisée par l’arrestation du gouverneur. L’indépendance de Saint-Domingue, alors rebaptisée Haïti, est proclamée le 1er janvier 1804. Elle devient la première République noire du monde et l’esclavage y est banni.

Aujourd’hui, Toussaint Louverture est reconnu comme l’un des pères fondateurs d’Haïti, aux côtés de Dessalines, de Christophe et de Pétion.

Récit et chanson en vidéo

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En 1743, Toussaint Louverture naît esclave en Haïti. À cette époque la colonie française est l’une des plus riches de l’hémisphère occidental.
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Mathieu Léveillé

1709-1743
Martinique – Québec (Canada)

Aperçu historique

Mathieu Léveillé serait né esclave, vers 1709, en Martinique. Rêvant de liberté, il s’échappe à trois reprises des plantations où on le contraint à travailler. Capturé une troisième fois, il est condamné à mort par les juges de l’époque. Pour échapper à une exécution imminente, on lui propose de devenir bourreau en Nouvelle-France. Le jeune homme devient ainsi, bien malgré lui, « exécuteur des hautes œuvres ».

En 1733, il est envoyé à Québec pour appliquer la haute justice, rôle qui fait de lui un paria. Habitué au climat tropical, le nouveau bourreau débarque à peine à Québec qu’il est hospitalisé à l’Hôtel-Dieu. Il aura, dès lors, toujours de la difficulté à s’adapter aux rigueurs du climat de la Nouvelle-France.

Mathieu Léveillé est contraint de se vêtir d’une tenue rouge, qui l’identifie en tout temps à son rôle. Malade, seul, obligé de torturer ou de tuer de par sa fonction, il souffrira de dépression durant les dernières années de sa vie.

Mathieu Léveillé meurt à Québec, en 1743.

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Mathieu Léveillé serait né esclave, vers 1709, en Martinique. Rêvant de liberté, il s’échappe à trois reprises des plantations où on le contraint à travailler.
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Joseph Beausoleil Broussard

1702-1765
Nouvelle-Écosse (Canada) – Haïti – Louisiane (États-Unis)

Aperçu historique

Joseph Broussard, connu sous le nom de « Beausoleil », est né en 1702 à Port-Royal, en Nouvelle-Écosse. Il possède un fort tempérament, fréquente les Micmacs, parle leur langue et combat les Anglais à leur côté. Comme l’a fait son père avant lui, il s’oppose à la domination anglaise. Il s’attaque aux troupes britanniques et participe régulièrement à des raids. Dès lors, sa tête est mise à prix par le gouverneur du Massachusetts, aux États-Unis.

Il évite la déportation du Grand Dérangement de 1755 en se cachant dans la forêt avec sa famille. Il continue de combattre les Anglais, luttant courageusement malgré des conditions peu favorables. Il mène le combat sur la terre et les eaux, se faisant corsaire pour attaquer les navires anglais. Contraint par la famine, il se rend aux autorités britanniques avec sa famille. Il est condamné à la prison. À sa libération, il part avec les siens s’établir à Saint-Domingue (actuel Haïti), mais repart rapidement pour aller vivre en Louisiane. Là, il est accueilli en héros par les nombreux Acadiens qui y ont été déportés.

Joseph Beausoleil Broussard représente l’esprit de résistance acadien. Son courage et sa ténacité ont encouragé les Acadiens à poursuivre leur lutte bien après sa mort. Il meurt en Louisiane en 1765.

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Joseph Broussard, connu sous le nom de « Beausoleil », est né en 1702 à Port-Royal, en Nouvelle-Écosse.
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Pierre-Esprit Radisson

1636-1710
France - Baie d'Hudson - Québec (Canada)

Pierre-Esprit Radisson naît en France vers 1636. Il a 15 ans lorsqu’il s’établit à Trois-Rivières. Il est peu après capturé par les Iroquois. Après l'avoir torturé, les Iroquois l’adoptent comme un frère. Ce sera le début d’une nouvelle vie qui va le conduire à travers des territoires inconnus des Européens.

Grâce à ses relations avec les Autochtones, il exploite une nouvelle voie navigable qui le mène vers la « mer salée » dans la baie d'Hudson. Il tente de s’y rendre en 1668 avec un équipage et des investisseurs anglais. Mais, il doit rebrousser chemin afin d’éviter le naufrage. Son beau-frère, Médard Chouart Des Groseilliers, qui est sur un autre navire, réussit quant à lui l’aller-retour. Les deux hommes sont considérés comme les cofondateurs de la célèbre Compagnie de la Baie d'Hudson.

Considérant avoir été trahi à la fois par la couronne française et britannique, il change d'allégeance à de nombreuses reprises. Il devient alors le coureur des bois le plus controversé de l’histoire du Canada.

Il rédige ses mémoires, Voyages of Peter Esprit Radisson, où il raconte sa vie parmi les Iroquois ainsi que ses nombreuses aventures. Son récit a inspiré de nombreux romans, des bandes dessinées et même une série télé. Pratiquement ruiné, il meurt à Londres, en juin 1710, entouré de ses nombreux enfants.

Récit et chanson en vidéo

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Source : Wikipédia

Source : wikipedia

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Pierre-Esprit Radisson naît en France vers 1636. Il a 15 ans lorsqu’il s’établit à Trois-Rivières
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Jeanne Mance

1606-1673  
France – Montréal - Québec (Canada)

Aperçu historique

Jeanne Mance est née en 1606, à Langres, l’une des plus belles villes fortifiées de France. En 1642, elle fonde, en Nouvelle-France, l’établissement de VilleMarie, au nom de la Société Notre-Dame de Montréal. À sa fondation, l’entreprise montréaliste (les premiers Montréalais) a pour principale vocation de convertir des Autochtones à la religion catholique. Si Jeanne est profondément dévote, qu’elle prononce ses vœux de chasteté et que sa mission est avant tout religieuse, elle n’en demeure pas moins laïque.

La pionnière porte de nombreux chapeaux. Jeanne Mance est considérée comme cofondatrice de la ville de Montréal, au côté de Paul de Chomedey de Maisonneuve. Alors que ce dernier est chargé du défrichage des terres, de la construction d’un fort et de la défense, Jeanne Mance assure la gestion financière de la colonie, recrute des colons-soldats et recueille les sommes nécessaires auprès de riches donateurs pour assurer la survie de la colonie. Puis, elle fonde l’Hôtel-Dieu de Montréal dès 1644, administre l’établissement et y officie en tant qu’infirmière. Elle sera également marraine de nombreux orphelins, victimes des guerres iroquoises et des épidémies.

Épuisée, mais sereine face au sentiment du devoir accompli, elle est inhumée en 1673 en l’église Notre-Dame de Montréal. En 2015, Jeanne Mance est reconnue « vénérable » par le Vatican.

À une époque où le rôle des femmes est peu mis en lumière, son rôle de cofondatrice de Montréal et de fondatrice de l’Hôtel-Dieu ne sera reconnu qu’en 2017, lors du 375e anniversaire de Montréal.

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Source : wikipedia

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Jeanne Mance est née en 1606, à Langres. En 1642, elle fonde, en Nouvelle-France, l’établissement de VilleMarie, au nom de la Société Notre-Dame de Montréal.
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Françoise-Marie Jacquelin

1602-1645
France - Nouveau-Brunswick (Canada)

Aperçu historique

Françoise-Marie Jacquelin serait née en France, à Nogent-le-Rotrou, en 1602, selon certains, en 1621 selon d’autres. Si l’on sait qu’elle est de confession huguenote (protestante), on connaît peu de choses d’elle avant son mariage avec Charles de Saint-Étienne de La Tour. Les célébrations de son mariage ont lieu dès son arrivée à Port-Royal en 1640. Son mari occupe alors l’un des trois postes de gouverneur de l’Acadie.

Les nouveaux mariés s’établissent au Fort La Tour, de l’autre côté de la baie des Français (Fundy), dans l’actuel Nouveau-Brunswick. L’Acadie vit alors une période trouble, et de nombreux conflits éclatent. Son époux, avec l’appui des protestants de Boston, est en guerre ouverte avec le seigneur Charles de Menou d’Aulnay, soutenu par les catholiques.

Grâce à ses contacts, à sa foi et à son courage, Françoise-Marie Jacquelin appuie son mari dans la lutte. Elle effectue de nombreux voyages en Angleterre, en France et à Boston pour rassembler des denrées et des hommes.

En 1645, alors que Charles de Saint-Étienne de La Tour est absent, le seigneur Charles de Menou d’Aulnay lance une attaque sur Fort La Tour. Malgré une lutte héroïque, Françoise-Marie Jacquelin doit capituler au bout de trois jours. Elle accepte de déposer les armes en échange de la promesse de Charles de Menou d’Aulnay d’épargner ses hommes, mais ce dernier trahit sa promesse. Ses hommes seront pendus devant elle. Elle meurt trois semaines plus tard en captivité, alors que son fils est expédié en France par son père pour parfaire son éducation.

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Source : wikipedia

Source : fortlatour.com

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Françoise-Marie Jacquelin serait née en France, à Nogent-le-Rotrou, en 1602, selon certains, en 1621 selon d’autres.
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Étienne Brûlé

1592-1633
France - Québec (Canada) - Ontario (Canada)

Aperçu historique

Étienne Brûlé est né en France vers 1592. À 16 ans, il s’embarque pour la Nouvelle-France aux côtés de Samuel de Champlain. Il sera de la célèbre traversée de 1608 qui mènera à la fondation du poste de Québec la même année.

N’ayant jamais écrit ses mémoires, le parcours d’Étienne Brûlé est entouré de mystère. Il servira d’interprète aux Français auprès des nations autochtones, favorisant le commerce avec ceux-ci. Il est le premier Européen à fouler la région de l’Outaouais, la baie Georgienne, la Pennsylvanie et à parcourir quatre des Grands Lacs. Considéré comme le premier des Ontariens, il est un véritable pionnier du mode de vie des coureurs des bois.

Premier Français à habiter avec les Autochtones, il revêt les habits et adopte les coutumes des Hurons. Capturé par les Iroquois, Étienne Brûlé reconquiert sa liberté, puis est soupçonné de travailler pour les Anglais lors de la perte de Québec en 1629. Désavoué par Samuel de Champlain à la reprise du poste de traite, il meurt aux mains des Hurons, parmi lesquels il a vécu pendant près de 20 ans. Jean de Brébeuf, prêtre jésuite français missionnaire en Nouvelle-France, raconte que son clan adoptif l’a sacrifié sur le poteau de torture, pour des raisons restées inconnues.

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Source : museedelhistoire.ca

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Étienne Brûlé est né en France vers 1592. À 16 ans, il s’embarque pour la Nouvelle-France aux côtés de Samuel de Champlain.
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Marie Rollet

1580-1649 
France – Québec (Canada)

Née en France vers 1580, Marie Rollet émigre en 1617, en Nouvelle-France. Son mari, leurs trois enfants âgés de quatorze, neuf et trois ans et elle-même sont réputés être la première famille de colons français à s’établir au Canada et à cultiver la terre.

Ils pratiquent l’agriculture, malgré les réticences et les embûches posées par les autorités coloniales. Avec sa famille, Marie Rollet défriche la terre sans bœuf ni charrue, faisant preuve d’une grande détermination. Elle se distingue rapidement par ses nombreuses compétences, soignant les habitants de la colonie et les Hurons de passage à Québec avec son mari Louis Hébert, qui est apothicaire. Elle enseigne aux enfants et s’occupe de nombreux orphelins, dont des orphelines autochtones.

Marie Rollet et sa famille démontrent à nouveau leur force de caractère en demeurant à Québec même durant l’occupation anglaise entre 1629 et 1632, alors que Champlain lui-même quitte le poste qu’il a fondé. Par sa nombreuse descendance, elle est l’aïeule de milliers de familles à travers l’Amérique du Nord. Tout cela lui mérite le titre de « mère de la Nouvelle-France ».

Elle meurt à Québec, en 1649, âgée de 69 ans.

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